Chaque semaine, l’émission « VU » propose un condensé, souvent acide, de notre époque vue à travers la télévision. Le dernier en date [lien vers la vidéo YouTube] est particulièrement frappant. En quelques minutes, il brosse le portrait d’une France qui doute, qui souffre et qui se cherche. Un portrait qui est le point de départ de mon engagement.
On y voit la crise de notre modèle. Des animaux qui meurent de notre pollution. Des plateformes de e-commerce hors de contrôle qui introduisent sur notre sol des produits immondes, défiant nos lois et notre morale. Un service public essentiel, l’Hôpital, qui s’effondre au point de ne plus pouvoir former ses propres médecins.
On y voit la crise de notre politique. Un débat public saturé par les mêmes figures, analysé en boucle, sans qu’aucune solution de fond ne soit jamais proposée.
On y voit, surtout, le sentiment de désillusion. Cette impression que le monde qui vient est plus dur que celui d’hier, que les promesses ne sont plus tenues.
Ce condensé n’est pas une caricature. C’est le quotidien. Et c’est précisément pour répondre à chacune de ces crises que le Projet Phénix a été construit.
- Face à la crise écologique, nous proposons un Pacte de Réalisme Écologique qui mise sur notre souveraineté énergétique.
- Face à la perte de contrôle, nous proposons un État fort et stratège qui rétablit l’ordre républicain et économique.
- Face à l’effondrement de nos services publics, nous proposons une réforme structurelle de l’État pour le rendre plus efficace et mettre fin au gaspillage.
- Face à la crise politique et à la désillusion, nous proposons une vision qui dépasse le clivage gauche-droite, une refondation basée sur le devoir et non sur l’ambition de carrière.
Ne subissons plus ce diagnostic. Transformons-le en un plan d’action. C’est tout le sens du Projet Phénix.